21 août 2012
Stoner, John WILLIAMS, Le Dilettante
Grand format à 25,40 €
On s'ennuie un peu au début. Après tout, Stoner, personnage éponyme du roman, n'a pas une vie des plus palpitantes, elle est même plutôt médiocre, à l'image de celle du pauvre homme dans la chanson "la valse à sale temps" de Manu Chao. Et pourtant, peu à peu, la magie opère... Peut-être parce que le coeur de la vie de Stoner est la littérature. Une question fondamentale pointe alors : de la littérature ou de la vie, qu'est-ce qui est le plus important ?
Bénédicte
10:17 Publié dans Coups de coeur de Bénédicte, Littérature étrangère | Lien permanent